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« Le premier conseil que je donnerais est qu’il faut croire en soi, croire en ses compétences, en ses capacités. Croire en soi est déjà quelque chose d’important. Il faut être humble c’est-à-dire, accepter de dire qu’on ne sait pas et qu’on apprend. Ça me rappelle un chanteur Gabin qui disait : « je sais, je sais, mais à 50 ans ou à 60 ans je savais toujours que je ne savais pas. » Il faut être humble et accepter qu’on ne sache jamais ; on n’atteint pas la plénitude de connaissances. Il faut constamment être en recherche de connaissances et d’apprentissage. Être ouvert, accepter l’autre avec ses différences ; je parle par expérience parce qu’à un moment donné, j’ai eu beaucoup de mal d’accepter l’autre avec sa différence quand on collaborait. J’ai dû faire moi-même des formations en développement humain, en développement personnel, pour me dire que l’autre ne peut pas être comme moi, il peut être différent. Je dois l’accepter pour que nous évoluions ensemble. Il faut être ouvert, accepter la différence, et se dire que c’est dans la différence qu’on crée cette complémentarité. Être toujours à la recherche de la performance et savoir dire : « je ne sais pas » quand on ne sait pas. »
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